texte défilant

CAR  DIEU  A  TELLEMENT  AIMÉ  LE  MONDE  QU'IL   A  DONNÉ  SON  FILS  UNIQUE,  AFIN   QUE   QUICONQUE  CROIT   EN  LUI  NE  SE  PERDE  PAS,  MAIS  OBTIENNE   LA   VIE   ÉTERNELLE.   (Jean 3, 16)

Un site pour avancer ensemble

sur le chemin de la foi

Bienvenue sur ce site internet où la paroisse saint Pierre saint Paul de la Vallée de l’Aisne vous accueille à cœur et à bras ouverts.


Ce cadre qui est le vôtre se veut une opportunité de découvertes, de rencontres et d’échanges en vue de mieux vivre cette fraternité chrétienne qui nous réunit en une même paroisse. 


Vous y trouverez des laïcs très engagés pour la mission, disposés à partager leur expérience de l’Amour de Dieu pour les Hommes, à vous écouter et à vous accompagner sur ce chemin de la foi.


Ce site se veut aussi être le prolongement de notre mission grâce à nos activités pastorales, afin que par tous les moyens, le Christ soit annoncé. 

Notre désir est d’aller vers toute personne désireuse de vivre l’expérience incommensurable de l’Amour du Christ.

Puissions-nous faire nôtre ce site afin de tirer le maximum de bien-être à travers les richesses de l’Évangile, la joie de la fraternité et le désir de prendre part à nos activités paroissiales.

Fraternellement,

Dieu vous bénisse !

Père Jean Alexis Aguma Asima 

05/07/2024

Missionnaires

 Vendredi 5 juillet 2024

Évangile selon saint Matthieu 9, 9-13

En ce temps-là, Jésus vit, en passant, un homme, du nom de Matthieu, assis à son bureau de collecteur d’impôt. Il lui dit : « Suis-moi. » L’homme se leva et le suivit. Comme Jésus était à table à la maison, voici que beaucoup de publicains (c’est-à-dire des collecteurs d’impôts) et beaucoup de pécheurs vinrent prendre place avec lui et ses disciples. Voyant cela, les pharisiens disaient à ses disciples : « Pourquoi votre maître mange-t-il avec les publicains et les pécheurs ? » Jésus, qui avait entendu, déclara : « Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin, mais les malades. Allez apprendre ce que signifie : Je veux la miséricorde, non le sacrifice En effet, je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. »

Prière

« Dieu notre Père, donne-nous l’audace des prophètes. Sans regarder en arrière, avec confiance, nous voulons répondre avec joie : Me voici, envoie-moi ! Ouvre nos oreilles et nos cœurs à ta Parole. Seigneur Jésus, aujourd’hui encore tu nous appelles personnellement : Viens, suis-moi ! Nous te confions tous les missionnaires, que l’Esprit de Pentecôte continue de les fortifier, que tous unis par un même baptême, nous soyons les témoins vivants de ta miséricorde. Amen. »
(Prière pour la mission)

Demande

Seigneur Jésus, suite à ton appel et à celui du pape François, aide-moi à sortir davantage aux périphéries.

Réflexion

  1. « Jésus vit, en passant, un homme, du nom de Matthieu, assis à son bureau de collecteur d’impôt. Il lui dit : Suis-moi. »
    L’appel de l’apôtre Matthieu nous interpelle. Ce n’est pas le profil que nous aurions imaginé. Il était publicain, collaborateur des occupants romains et pécheur. Nos faiblesses peuvent-elles donc devenir des atouts ? Lorsque nous avons fait l’expérience de notre faiblesse et de la force transformatrice de l’amour du Seigneur, nous sommes peut-être mieux placés pour aider les autres dans leurs fragilités et les rapprocher de Dieu. Le Seigneur, dans sa miséricorde, a su faire de Matthieu un grand apôtre et un évangéliste de surcroît.
  2. « Pourquoi votre maître mange-t-il avec les publicains et les pécheurs ? » 
    Le Christ portait une attention particulière pour les gens éloignés de la foi et de la justice morale.  Faudrait-il remettre en question nos plans pastoraux ? Sommes-nous trop souvent satisfaits de rester en bonne compagnie plutôt que de nous lancer à la recherche des brebis perdues ? Le pape François nous encourage à sortir aux périphéries de notre société. Demandons au Seigneur de nous aider à sortir de nos petites zones de confort.  
  3. « Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin, mais les malades (…) En effet, je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. »
    En effet, Jésus se présente comme le Bon Berger qui laisse les 99 brebis dans le bercail pour aller à la recherche de la brebis perdue. Il est venu sauver ce qui était perdu. Nous avons nous-mêmes bénéficié de cette miséricorde. Alors il ne nous reste plus qu’à sortir, à l’exemple du Christ, pour aller à la rencontre de ceux qui ne connaissent pas encore le Seigneur ou qui s’en sont éloignés.
    Comme nous le déclare si justement saint Matthieu dans son Évangile : « Allez ! De toutes les nations faites des disciples : baptisez-les au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit, apprenez-leur à observer tout ce que je vous ai commandé. Et moi, je suis avec vous tous les jours jusqu’à la fin du monde. » (Mt 28, 19-20)

Dialogue avec le Christ

Seigneur, aide-moi à méditer ces paroles du saint pape Jean-Paul II : « La mission du Christ Rédempteur, confiée à l’Église, est encore bien loin de son achèvement. Au terme du deuxième millénaire après sa venue, un regard d’ensemble porté sur l’humanité montre que cette mission en est encore à ses débuts et que nous devons nous engager de toutes nos forces à son service. C’est l’Esprit qui pousse à annoncer les grandes œuvres de Dieu : ‘’Annoncer l’Évangile, en effet, n’est pas pour moi un titre de gloire ; c’est une nécessité qui m’incombe. Oui, malheur à moi si je n’annonçais pas l’Évangile ! (1 Co 9, 16)’’. » (Jean-Paul II, Redemptoris missio, 1)

Résolution

J’irai à la rencontre de quelqu’un à la périphérie de l’Église pour lui apporter mon soutien.